Notre région était habitée par les « Carnutes » sur un très vaste territoire s’étendant au-delà de la Beauce et de la Sologne. Si Chartres (Autrik) semblait capitaliser la préférence des Druides, c’est par Orléans (Genabum) que transitaient le commerce, les affaires et les communications.
Construite sur une motte de l’ancien pont, elle sera dévastée pendant le siège de 1428. La chapelle Saint-Antoine. Construite sur une motte de l’ancien pont, elle sera dévastée pendant le siège de 1428. Louis XII la fait réparer en 1501. Elle disparaitra avec la démolition de l’ancien pont des tourelles et le retrait des mottes.
Il vit à Orléans jusqu'à l'âge de douze ans, puis part en 1521 pour Paris où il étudie pendant cinq ans. Il est né en 1509 à Orléans et mort en 1546 à Paris.
Il est le premier hôtel de ville d'Orléans en pleine guerre de 100 ans. L'Hôtel des Créneaux
L'église Saint-Hilaire (proche du Châtelet), en mauvais état, est restaurée en 1517. L'église Saint-Hilaire (proche du Châtelet), en mauvais état, est restaurée en 1517.
Né en 1518 à Orléans, Germain Audebert, ami de Théodore de Bèze, était avocat. Né en 1518 à Orléans, Germain Audebert, ami de Théodore de Bèze, était avocat.
L'église est construite entre 1513 et 1519. L'ancienne chapelle (Notre-Dame-du-Bon-Secours) du 11ème siècle était adossée au mur d'enceinte. L'église est construite entre 1513 et 1519. L'ancienne chapelle (Notre-Dame-du-Bon-Secours) du 11ème siècle était adossée au mur d'enceinte qui cernait et protégeait la ville. L'extension des remparts rendit inutile ce mur et la future église Notre-Dame-de-Recouvrance prendra place de part et d'autre du rempart démoli.
En 1525 ou 1526, son père, Gérard, le retire du collège de Montaigu et l'inscrit à l'université d'Orléans afin qu'il y étudie le droit. En 1525 ou 1526, son père, Gérard, le retire du collège de Montaigu et l'inscrit à l'université d'Orléans afin qu'il y étudie le droit.
Le bâtiment est construit à partir de 1530 par Jacques Groslot, bailli de la ville. L'Hôtel Groslot : Le bâtiment est construit à partir de 1530 par Jacques Groslot, bailli de la ville.
De 1535 à 1539, il étudiera à l'université d'Orléans. Il fut reçu licencié en droit le 11 août 1539 De 1535 à 1539, il étudiera à l'université d'Orléans. Il fut reçu licencié en droit le 11 août 1539 et, comme son père le désirait, alla à Paris où il commença la pratique.
L'Hôtel s'élèvera en 1540. Ce petit palais a été habité par Anne de Pisseleu, duchesse d'Etampes. L'Hôtel Toutin : L'emplacement était sous Louis XII domaine du Roi.
La maison est construite ente 1543 et 1545 par Pierre Biart et Philippe Bénard Maison dite des Chanoines ou hôtel d'Hector de Sanxerre
L'Hôtel Cabu construit en 1547 par l'avocat Philippe Cabu est aussi connu sous le nom de Maison Diane de Poitiers. L'Hôtel Cabu construit en 1547 par l'avocat Philippe Cabu est aussi connu sous le nom de Maison Diane de Poitiers.
Elle est née à Orléans en 1549 et morte à Paris en 1638. Elle est née à Orléans en 1549 et morte à Paris en 1638.
Son nom venait de sa position au-dessous du pont vis-à-vis la rivière Flambert. L’île de la Barre Flambert : Son nom venait de sa position au-dessous du pont vis-à-vis la rivière Flambert. Elle était très petite et séparée de la ville par un canal très étroit. Entre cette île qui disparut totalement vers 1550 et la petite île de Charlemagne eurent lieu lors du siège deux combats épiques.
Construit en 1552, c'est l'un des rares édifices du quartier qui a échappé au bombardement de 1940. Le Pavillon Colas des Francs (Jardin Jacques Boucher. 5, pl. Gl. de Gaulle.) : Construit en 1552, c'est l'un des rares édifices du quartier qui a échappé au bombardement de 1940.
Le 18 octobre 1560, le roi François II s’installe avec sa cour dans l'hôtel Groslot d'Orléans. Le 18 octobre 1560, le roi François II s’installe avec sa cour dans l'hôtel Groslot d'Orléans pour marquer son opposition à Jérôme Groslot, fervent partisan de la Réforme protestante.
Elle est la sœur, presque jumelle, de la maison de la Coquille située à deux pas : Rue de la Pierre Percée. La maison de Jean d'Alibert, (6, place du Châtelet), bijou du 16ème siècle, s'élevait juste en face de l'ancienne et sombre prison Saint-Hilaire, rue du "Marché à la volaille".
Dès 1562, en pleine guerre de religion, les Huguenots (protestants) pillent l'église et reviennent en 1567 pour faire sauter la nef et démanteler les toitures Notre-Dame-de-Recouvrance : L'église est construite entre 1513 et 1519. Durant les guerres de religion, le bâtiment, comme d'autres églises de la ville, est incendié par les protestants (huguenots) en 1562 et 1567. Les charpentes seront détruites, mais l'édifice sera rapidement reconstruit.
En pleine guerre de religion, François de Guise, catholique, marche sur Orléans. Le 18 octobre 1560, le roi François II s’installe avec sa cour dans l'hôtel Groslot à Orléans (mairie actuelle) pour marquer son opposition à Jérôme Groslot, fervent partisan de la Réforme protestante. Le roi meurt (peut-être d'une méningite) à hôtel Groslot, après s'être évanoui à Saint-Aignan, le 5 décembre 1560. Il a alors 16 ans. La chapelle ardente sera la salle initialement prévue pour juger le Prince de Condé, protestant notoire fraichement capturé. Le 8 décembre, le cœur du jeune roi est déposé en la cathédrale Sainte-Croix.
L'église Saint-Sauveur, située rue de Bourgogne, sera construite en 1182. L'église Saint-Sauveur, située rue de Bourgogne, sera construite en 1182. D'abord collégiale, elle fut donnée en 1200 par Philippe Auguste aux Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem puis aux chevaliers de Rhodes et de Malte.
Le capitaine Caban était commandant du Roi. En 1567, il affronta les cavaliers du Prince de Condé venus s'emparer de la ville. Une poignée de cavaliers s'emparent d'Orléans.
Eglise Notre-Dame-de-Recouvrance : L'église est construite entre 1513 et 1519. Durant les guerres de religion, le bâtiment, comme d'autres églises de la ville, est incendié par les protestants (huguenots) en 1562 et 1567. Eglise Notre-Dame-de-Recouvrance : L'église est construite entre 1513 et 1519. Durant les guerres de religion, le bâtiment, comme d'autres églises de la ville, est incendié par les protestants (huguenots) en 1562 et 1567. Les charpentes seront détruites, mais l'édifice sera rapidement reconstruit.
Pendant les guerres de Religion, la cathédrale sera dévastée par les Huguenots en 1568. Pendant les guerres de Religion, la cathédrale sera dévastée par les Huguenots en 1568.
