Les chiens d'Orléans
L’origine de cette expression est totalement incertaine et diverses explications demeurent. L’origine de cette expression est totalement incertaine et diverses explications demeurent.
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Le petit train de Wichita est offert à la ville d'Orléans par sa jumelle Wichita (USA) en 1952. Le petit train de Wichita est offert à la ville d'Orléans par sa jumelle Wichita (USA) en 1952. Le financement en a été assuré par une collecte de pièces de 5 et 10 Cents auprès des enfants des écoles de Wichita.
Notre tramway moderne n’est pas une nouveauté, Orléans s’était dotée d’un réseau de tramway dès 1877.
Les couleurs de la ville d'Orléans sont l'Or et le rouge.
La société encadrera les grands évènements sportifs ainsi que les fêtes de Jeanne d'Arc et autres manifestations.
Quelques concerts qui restent dans la mémoire des Orléanais. De Bob Marley à Carlos Santana... Plus de 100 concerts qui restent dans la mémoire des Orléanais.
Films tournés à Orléans ou dans sa région proche, totalement ou partiellement. Films tournés à Orléans, totalement ou partiellement.
Malgré l’absence d’industries sidérurgiques, Les établissements François Guillot-Pelletier s’installeront à Saint-Jean-de-Braye en 1838.
En 1913, 350 ouvriers sortent 15 automobiles par mois. Les automobiles les plus belles et les plus chères de l’époque.
Orléans comptait 32 raffineries raffinant 50% du sucre consommé en France.
Au début du 20ème siècle, Orléans compte deux grands brasseurs : Gavot et Schmetz.
A la belle époque, l’industrie du corset est en plein essor à Orléans.
Une des premières filatures mécaniques de France s’installe à Orléans.
La confiserie-chocolaterie Saintouin sera créée en 1760 par les frères Saintoin au 122 rue de Bourgogne à Orléans.
La manufacture de tabacs d’Orléans démarre en 1885 avec 11 ouvriers pour la fabrication de cigares.
A la fin du 19ème siècle, la ville comptait 82 fabricants. En quelques années, leur nombre chuta.
La qualité et la sonorité des cloches fondues étaient exceptionnelles.
Grâce à la découverte de l’appertisation (stérilisation) par Nicolas Appert, la conserverie va se développer dès le début du 19ème siècle.
Deux grandes maisons fabriquaient 50 % des couvertures du pays avec plus de 1000 ouvriers.
Composée de 50 musiciens vêtus d'un costume noir et portant chapeau melon, la troupe est menée par un chef en redingote et haut de forme. Ne pouvant se passer d'une formation musicale, c'est en 1912, soit un an après la dissolution de la Musique du bataillon des Sapeurs-Pompiers, que la municipalité créée l'Harmonie d'Orléans.
L'Académie siège dans une maison mise à sa disposition par la municipalité depuis 1809. L'Académie siège dans une maison mise à sa disposition par la municipalité depuis 1809.
Sous la troisième République, dite maçonnique, entre 1912 et 1940, deux frères endosseront le costume de maire à Orléans : Fernand Rabier et Eugène Turbat. Ainsi qu'un ministre : Jean Zay. En 1721 Louis II de Pardailhan de Gondrin, duc d’Antin, alors âgé de quatorze ans, et proche parent du duc d’Orléans est nommé gouverneur de l’Orléanais. En 1731, il se fait initier dans une loge maçonnique parisienne.
En 1883, une société de gymnastique Orléanaise prendra pour nom : La guêpe. En 1883, une société de gymnastique Orléanaise prendra pour nom : La guêpe. Ce club sera célèbre et très actif , en particulier lors de grandes fêtes de la gymnastique et des défilés du 8 mai en hommage à notre Jeanne d'Arc.
Edmond Desnoyers sera en 1848 l'un des fondateurs de la société archéologique de l’Orléanais Une « Société Archéologique de l'Orléanais » est créée en 1848. Mais, elle ne se réunit pour la première fois qu'en 1849.