Le petit Ambert

Le petit Ambert

Les Célestins d'Ambert, dont le prieuré était installé dans la forêt sur la commune de Chanteau, possédaient à Orléans une maison. Les Célestins d'Ambert, dont le prieuré était installé dans la forêt sur la commune de Chanteau, possédaient à Orléans une maison de refuge, le petit Ambert (26,ter rue de la Poterne), acquise en 1363. En 1779, à la suppression du prieuré, cette maison fut vendue.

L'Aumône Saint-Paul ou des filles

L'Aumône Saint-Paul ou des filles

Destinée à héberger les pauvres femmes et filles de la ville d'Orléans, c'était une maison de refuge antérieure au 13ème siècle, située dans le quartier de Saint-Paul. Destinée à héberger les pauvres femmes et filles de la ville d'Orléans, c'était une maison de refuge antérieure au 13ème siècle, située dans le quartier de Saint-Paul.

L'Aumône Saint-Pouair ou des garçons

L'Aumône Saint-Pouair ou des garçons

L'Aumône Saint-Pouair (c'est-à-dire de Saint-Paterne) était située à l'intersection des rues Bannier et de la Bretonnerie L'Aumône Saint-Pouair (c'est-à-dire de Saint-Paterne) était située à l'intersection des rues Bannier et de la Bretonnerie. Elle fut fondée en 1298, par la Confrérie des maîtres écrivains d'Orléans, afin d'accueillir les pauvres et indigents.

L'Hôpital général

L'Hôpital général

L'Hôpital Général fut construit en 1675, rue Porte-Madeleine, sur l'emplacement de l'ancien Arsenal. L'Hôpital Général fut construit en 1675, rue Porte-Madeleine, sur l'emplacement de l'ancien Arsenal.

L'Hôpital Saint-Antoine du Pont d'Orléans

L'Hôpital Saint-Antoine du Pont d'Orléans

La chapelle et l'hôpital Saint-Antoine (qui accueillait voyageurs et pèlerins pour une nuit) étaient situés au milieu de l'ancien pont . La chapelle et l'hôpital Saint-Antoine (qui accueillait voyageurs et pèlerins pour une nuit) étaient situés au milieu de l'ancien pont du 12ème siècle, sur un îlot de la Loire, la chapelle à l'est sur la motte Saint-Antoine et l'hôpital à l'ouest sur la motte des Poissonniers.

L'Hospice des aveugles ou Saint-Mathurin

L'Hospice des aveugles ou Saint-Mathurin

En 1259, Saint-Louis, de passage à Orléans, fait construire au nord de l'enceinte (59, rue Bannier) une église dédiée à saint Mathurin. En 1259, Saint-Louis, de passage à Orléans, fait construire au nord de l'enceinte (59, rue Bannier) une église dédiée à saint Mathurin, avec un hospice réservé aux pauvres aveugles.

L'Oratoire

L'Oratoire

En 1615, l'évêque Gabriel de l'Aubespine autorisait les Vénérables Prêtres de la Compagnie de l'Oratoire de Jésus à venir s'installer à Orléans. En 1615, l'évêque Gabriel de l'Aubespine autorisait les Vénérables Prêtres de la Compagnie de l'Oratoire de Jésus à venir s'installer à Orléans.

L'Ordre du Carmel

L'Ordre du Carmel

Le Carmel ou ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel, est issu d'ermites vivant dès 1155 sur le mont Carmel (Israël) Le Carmel ou ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel, est issu d'ermites vivant dès 1155 sur le mont Carmel (Israël).

La Madeleine

La Madeleine

Dans le faubourg Madeleine, se trouvait, au 11ème siècle, une église Sainte-Marie-Madeleine. Dans le faubourg Madeleine, se trouvait, au 11ème siècle, une église Sainte-Marie-Madeleine.

La Visitation

La Visitation

Dès 1619, lors d'une visite de Saint-François de Sales à Orléans, le projet de la venue des Visitandines à Orléans est envisagé. Dès 1619, lors d'une visite de Saint-François de Sales à Orléans, le projet de la venue des Visitandines à Orléans est envisagé.

Le Bon-Pasteur

Le Bon-Pasteur

En septembre 1703, le cardinal de Coislin, évêque d'Orléans, obtint du roi l’autorisation d'établir la communauté du Bon-Pasteur En septembre 1703, le cardinal de Coislin, évêque d'Orléans, obtint du roi l’autorisation d'établir la communauté du Bon-Pasteur, destinée à accueillir les pauvres filles repenties.

Le Calvaire

Le Calvaire

La Congrégation des Bénédictines de Notre-Dame- du-Calvaire est née à Poitiers en 1617 La Congrégation des Bénédictines de Notre-Dame- du-Calvaire est née à Poitiers en 1617.

Le grand Séminaire

Le grand Séminaire

Mgr de Coislin voulant doter son diocèse d'un séminaire, obtient de Louis XIV des Lettres patentes... Mgr de Coislin voulant doter son diocèse d'un séminaire, obtient de Louis XIV des Lettres patentes données à Saint-Germain-en-Laye en 1667, par lesquelles le roi décrète la suppression du chapitre de Saint-Avit et l'union de ses biens au nouvel établissement.​

Le Petit Saint-Loup

Le Petit Saint-Loup

En 1655, les religieuses firent construire une maison et une chapelle (à l'angle des rues du Petit Saint-Loup et de Saint-Euverte). En 1655, les religieuses firent construire une maison et une chapelle (à l'angle des rues du Petit Saint-Loup et de Saint-Euverte) où elles établirent leur noviciat, mais en 1685, elles abandonnèrent la maison, louée à des particuliers.

Les Augustins

Les Augustins

Les Révérends Pères Augustins furent reçus à Orléans vers l'an 1280. Les Révérends Pères Augustins furent reçus à Orléans vers l'an 1280. Ils s'installent au sud de la Loire, près du pont des Tourelles. Leur chapelle prend le nom de « Notre-Dame-des-Aides ».

Les Capucins

Les Capucins

Les Capucins vinrent à Orléans, à la demande d'Henri Ill, en 1578. Les Capucins vinrent à Orléans, à la demande d'Henri Ill, en 1578. Catherine de Médicis leur fit don, au sud de la Loire des Jardins du duc d'Orléans, où ils construisirent un couvent et une chapelle, consacrée en 1583.

Les Carmélites

Les Carmélites

Les Carmélites arrivent à Orléans en 1617 et logent provisoirement près de l'église Saint-Pierre-Ensentelée. Les Carmélites arrivent à Orléans en 1617 et logent provisoirement près de l'église Saint-Pierre-Ensentelée (Saint-Pierre-du-Martroi).

Les Carmes déchaussés

Les Carmes déchaussés

Les Carmes déchaussés ou petits Carmes. Les petits Carmes, arrivés à Orléans en 1646. Les Carmes déchaussés ou petits Carmes. Les petits Carmes, arrivés à Orléans en 1646, s'installent d'abord au 20, rue du Bourdon Blanc et y ouvrent une chapelle en 1647.

Les Chartreux

Les Chartreux

Arrivés à Orléans en 1624, ils entreprirent la construction de leur couvent. Un Hôtel Saint-Ladre, signalé dès 1112, existait à Orléans aux numéros 74 à 80 bis du Faubourg Bannier. Il accueillait les lépreux de la ville d'Orléans et dépendait du Chapitre de Sainte-Croix.

Les grands Carmes

Les grands Carmes

Les grands Carmes vinrent à Orléans vers l'an 1265 et s'établirent sur l'emplacement occupé de nos jours par l’ancien l'Hôpital Général. Les grands Carmes vinrent à Orléans vers l'an 1265 et s'établirent sur l'emplacement occupé de nos jours par l’ancien l'Hôpital Général. Ce couvent fut détruit par les Anglais en 1358.

Les Jacobins

Les Jacobins

Les Jacobins (nom donné aux Dominicains dont la maison-mère était située rue Saint-Jacques à Paris) sont venus à Orléans en 1218. Les Jacobins (nom donné aux Dominicains dont la maison-mère était située rue Saint-Jacques à Paris) sont venus à Orléans en 1218 ou 1219.

Les Minimes

Les Minimes

Le 26 avril 1612, les Minimes obtiennent de la ville d'Orléans le terrain des Buttes des arbalétriers et des arquebusiers. Le 26 avril 1612, les Minimes obtiennent de la ville d'Orléans le terrain des Buttes des arbalétriers et des arquebusiers, situé rue d'Illiers, et s'y installent en 1613.

Les petits séminaires

Les petits séminaires

Mgr de Coislin avait installé, en 1687, un petit séminaire diocésain à Meung-sur-Loire. Mgr de Coislin avait installé, en 1687, un petit séminaire diocésain à Meung-sur-Loire. Celui-ci subsista jusqu'en 1793.

Les Récollets, anciennement les Cordeliers

Les Récollets, anciennement les Cordeliers

Les Cordeliers ou frères mineurs, vinrent Orléans vers l'an 1240. Les Cordeliers ou frères mineurs, vinrent Orléans vers l'an 1240. Ils s’installèrent dans la chapelle Saint-Chéron à l’angle de la rue de la Bretonnerie et de la rue des Récollets.